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Ici commence cette fic -faut que je trouve un nom- !!! On commence lorsque Katsura découvre le talent de Kenshin.

UN HOMME PARFAIT

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Je me rappelle de ce jour. Il pleuvait des cordes. J'étais trempé. Et cet homme, Katsura, il était assis en face de moi. Il voulait m'emmener avec lui, à Kyoto, pour devenir assassin. Maître Hiko me l'avait dit, si je mettais mon sabre au service d'un camp ou de l'autre, je me préparai à tuer, tuer sans relache, toujours pousser par une inssaciable soif de vengence. Ses mots me traversaient l'esprit. Katsura me demanda par 3 fois de le rejoindre mais ses appels ne m'atteignaient pas. Tagasugi s'approcha de moi.

Tagasugi : Himura, que décides-tu ?

Moi : Euh.... Je ne sais pas.

Je baissais la tête et regardait les gouttes d'eau tombant sur mon hakama.

Katsura : Quel âge as-tu ?

Moi : Je vais avoir 14 ans, monsieur.

Katsura: Tu es un peu jeune ! Je te propose quelque chose alors.

Moi : Quoi donc ? -J'avais toujours la tête baissée.

Katsura : Tu vas vivre chez moi jusqu'à ce que tu aies 14 ans. A ce moment là, tu iras à Kyoto et tu seras un de mes Samouraïs.

Moi : Si je dois tuer, autant m'y mettre tout de suite. Sinon, j'aurais des regrets.

Tagasugi : Des regrets ? Tu en auras même si tu vas à Kyoto maintenant !

Katsura : Tu accesptes ?

Je fis signe que oui de la tête.

Katsura : Alors, tu vas venir chez moi. Une semaine après tes 14 ans, je t'enverrai à Kyoto.

Moi : Bien.

Le soir tomba rapidement. Je n'ai même pas vu le soleil se coucher. Katsura était venu me voir avant que je me couche. Il m'avait dit qu'avant d'aller chez lui, nous irions commander un vrai sabre pour moi et que nous changerions mes vêtements. Je les trouvais très bien mais pas Katsura. Il disait qu'ils faisaient trop enfant et que je ne devais plus me comporter comme tel. C'est ainsi que mon adolescence cessa. Mon enfance s'était terminée le jour où j'étais devenu le disciple de Maître Hiko, et maintenant, je devenais adulte.

J'étais en train de regarder le ciel qui s'était découvert. Les étoiles brillaient à présent. Je sortis ma vieille toupie de mon kimono et la regarda. J'entendais un shamisen. Ce doit être monsieur Tagasugi, pensais-je.

En effet, Katsura et Tagasugi discutait de mon sort, dans la chambre de M.Tagasugi. Mais Katsura partit assez rapidement. Son repas n'était même pas terminé. Pour la première fois depuis bien longtemps, j'avais pu manger un repas digne de ce nom. D'habitude, c'était une sorte de bouillie d'avoine. Je n'aimais pas vraiment ça. Et les adultes buvaient des litres de saké. A chaque fois que l'un m'en proposait, je refusais vivement et je me retirais dans ma chambre. Ce soir là, M.Katsura m'en avait aussi proposé et j'avais une nouvelle fois refusé. On m'apporta alors du thé.

"Ce sera toujours meilleur que de l'eau !" avait dit-il jovialement.

Ils essayaient de me mettre à l'aise mais leur pression ne faisait que me rendre plus tendu.

Je me décidais enfin à me coucher lorsque j'entendis une femme crier. Harumoto essaye encore de faire du mal à une fille, pensais-je. Pourquoi les adultes font-ils ça ? C'est plutôt répuniant. Les cris ne cessaient pas et cela commençait à me tracasser. Allais-je rester passif alors qu'elle était en danger ? Harumoto avait sans doute trop bu ce soir et cette fille allait être violer non seulement par Harumoto mais aussi par les autres. Cela arrivaient asse souvent. Je me levais et pris mon sabre. J'ouvris le shôji et commençais à descendre les escaliers. Katsura était en bas et se tourna rapidement vers les escaliers. J'eu à peine le temps de me réfugier dans l'ombre. Une fois qu'il fut monté, je courru jusqu'aux cabanes où dormaient les autres futurs soldats. Les cris étaient de plus en plus fort. J'ouvris avec fracas le shôji. La femme était déjà bien amochée.

Moi : Arrêtez !!

Harumoto : Tiens ! Mais c'est le morveux que Katsura a pris ce soir !!!

Moi : Arrêtez de lui faire du mal !!

Un autre : Tu te crois en mesure de nous arrêter ?

Moi : Oh que oui !! -je mis ma main sur la poignée de mon sabre et me mis en garde Battô.

Harumoto (lâchant la fille) : Ah ah !! Tu as déjà la grosse tête ?!

Il prit un de ces bâtons qu'on utilisait pour l'entraînement et essaya de m'en donner un coup. J'esquiva.

Juste au moment ou mon sabre allait le toucher, Tagasugi me retint et me jeta contre le mur.

Tagasugi : Oublies-tu que c'est ton camarade ?

Moi : Mais ..... Il allait lui faire du mal !!!

Tagasugi : Harumoto ! Laisse cette femme à son travail ! Si je te reprends, tu partiras.

Harumoto : Bien monsieur.

Tagasugi : Quant à toi, Himura, tu avais reçu ordre de rester dans ta chambre !

Moi : Je vous l'ai dit ! Je suis venu pour ....

Tagasugi : Himura, suis-moi.

Nous avons marché pendant environ une heure. Quelques nuages s'accumulaient sur les hauts sommets environnants. Tagasugi s'arrêta dans une clairière. Un bruit de cascade se faisait entendre. Cela me rappellait mon entraînement avec Maître Hiko. Nous nous battions souvent près d'une cascade. L'eau y était toujours très fraiche. Y tomber était non seulement humiliant mais aussi désagréable. Cela m'arrivait souvent.

Tagasugi dégaina son sabre et jeta le fourreau.

Tagasugi : Vas-y, attaque-moi !!

Moi : Euh .... Mais ....

Tagasugi : Qu'est-ce que tu attends ?!

Moi : Je ne peux pas faire ça......

Tagasugi : Tu vas devenir Samouraï ! Alors tu dois apprendre à tuer !!

Moi : Vous voulez ...... que je vous tue ?!

Tagasugi : De toute façon, je mourai bientôt. Je suis malade, tu le sais.

Moi : Demandez-moi n'importe quoi, mais pas ça !!

Tagasugi : Tu vas refuser de tuer à chaque fois qu'on te le demande ?!

Il s'élança sur moi très rapidement. J'eu à peine le temps de sortir mon sabre et de parer le coup qu'il était déjà pret à me trancher la gorge. Je me baissais et essaya de le frapper aux jambes. Ma lame s'arrêta juste avant et je reçus la garde du sabre de Tagasugi sur le front.

Tagasugi : Resaisis-toi.

Moi : Je ne veux pas ....... -j'étais à terre et mon front saignait d'une belle entaille.

Tagasugi : Relève-toi, c'est un ordre.

Je me levais, péniblement et regardais Tagasugi. Ma vue se troublait par moment, à cause du coup. Il s'élança une nouvelle fois sur moi. Je parai le coup de répondis par ma lame. Le sabre de Tagasugi se brisa et je le toucha à l'épaule droite, un peu profondément. La sang jaillit.

Tagasugi : C'était ta technique ..... Celle de Battô.

Moi : Excusez-moi, je ne voulais pas .....

Tagasugi : Cesse tes excuses. Crois-tu que tu devras t'excuser devant tes victimes ?

Moi : Non mais ....

Tagasugi : Si tu ne voulais pas tuer, tu ne devais pas accepter.

Moi : Euh .... Désolé !

Je rengeais mon sabre et m'inclinais. Tagasugi me tendit un morceau de tissu.

Tagasugi : Il faut essuyer le sang, sur ta lame. Pour effacer les traces.

Le lendemain matin, je fus réveiller par Katsura. Je pris un rapide petit déjeuner et nous partîmes. Juste avant, M.Tagasugi nous avait donner les dernières recommandations.

Tagasugi : Et surtout, veille à ce qu'il soit bien traître, là-bas.

Katsura fit oui de la tête et partit sans se retourner. J'eu quelques remorts mais je ne devais pas le regarder.

Je l'entendis tousser fortement et murmurer des mots que je ne saisis pas. Nous traversâmes une petite ville avant d'arriver à Kyoto. Là-bas, Katsura m'entraîna dans une boutique de vêtements.

Katsura : Que dis-tu de celui-là ?

Moi : Euh ......

Katsura : C'est peut-être un peu vif comme couleur ... Pourtant, le rouge t'irait bien !

Moi : Je croyais qu'il fallait prendre des vêtements plutôts discrets .....

Katsura : Oui, c'est vrai ! Mais tu vas vivre chez moi pendant un peu plus d'un mois alors on peut bien te prendre d'autres vêtements. Ah ! J'ai enfin trouvé ce qui t'irait à merveille !! Ce kimono là ! Regarde !

Moi : Bleu ?

Katsura : Oui ! Avec ce hakama gris ! Qu'en dis-tu ?

Moi : Ai-je vraiment le choix ?

Katsura : AH AH AH !! Non, en effet ! Mademoiselle, nous prendrons ceci.

Après cela, nous sommes allés déjeuner. Je me rendais compte que Katsura était un homme très sympathique. Il riait de n'importe quoi et prenait un malin plaisir à me voir stupéfait. Il disait que c'était rare de voir un enfant comme moi. Si sérieux à mon âge. Il me taquina pendant le déjeuner en me tendant une coupe de saké. Après ça, nous repartîmes vers les montagnes.

Katsura : Nous allons voir Sakkû Arai. C'est le meilleur qui soit !!

Moi : Le meilleur pour quoi ?

Katsura : La fabrication des sabres, bien sûr !

Nous arrivâmes lorsque la nuit était déjà tombée depuis un moment. Katsura entra et de vives salutations commencèrent avec des éclats de rire.

Sakkû : C'est pour ce jeune homme que tu veux un sabre ?

Katsura : En effet. Il intégrara les Ishin-Shishi dans un mois, environ.

Sakkû : Quel est ton nom ?

Moi : Euh, Kenshin Himura. -j'étais surpris qu'on m'adresse enfin la parole.

Sakkû : Quel âge as-tu ?

Moi : Bientôt 14.

Sakkû : Tu sors à peine du berceau mon pauvre ! Bon, de quelle école viens-tu ?

Moi : De l'école Hiten Mitsurugi Ryû. -ça réplique précédente m'avait un peu véxée.

Sakkû : Tu ne me racontes pas de bobard, petit ?

Moi : Moi ?! Jamais de la vie !!

Sakkû : L'école Hiten Mitsurugi Ryû remonte à l'époque des guerriers ! Tu ne peux pas en être l'héritier.

Moi : Je n'ai pas appris les arcanes, je n'ai été que disciple !

Katsura (d'un ton compatissant) : Je puis t'assurer qu'il vient bien de cette école. J'en ai été témoin.

Sakkû : Bon, dans ce cas il te faut un sabre digne de ce nom !! Et très résistant aussi. ça va te coûter cher, Katsura !!

Katsura : Peu importe. Pour quand peux-tu me faire un bon sabre ?

Sakkû : Que le petit revienne dans 2 semaines. S'il est capable de me battre, tu ne payeras rien.

Katsura : Tu aimes encore à défier la Mort ?

Sakkû : Cela m'amuse énormément. Surtout avec mes sabres tueurs.

Katsura : Himura, es-tu d'accord ?

Moi : Vous me le demandez mais je n'ai pas le choix !

Katsura et Sakkû : AH AH AH !!! TRES JUSTE !!!

Nous passâmes la nuit chez Maître Sakkû et le lendemain nous partions pour la résidance de Katsura.

Je fus assez surpris par sa grandeur. Le jardin était plein de fleurs et parssemé de bassins. Une ravissante jeune femme nous attendait sous la véranda. Katsura la rejoint le premier et l'embrassa. Je détourna mon regard vers le bassin le plus proche. Katsura m'appella.

Katsura : Kenshin, je te présente Ikématsu.

Moi : Bonjour.

Ikématsu : Alors c'est lui .... Mmm, un peu jeune, non ?

Katsura : C'est sans importance.

Ikématsu : Quel est ton nom ?

Moi : Kenshin Himura. -Je me répète ces derniers temps ....

Ikématsu : Kenshin ... C'est peu commun comme prénom. Enfin ! Je vous ai préparé le déjeuner. Venez.

Elle était vraiment ravissante. Et son parfum... C'était un mélange entre l'herbe fraîche et la fleur de cerisier. Pendant tout le repas, elle ne cessa pas de regarder Katsura qui lui rendait ses regards.

Ikématsu : Le repas ne te plaît pas ?

Moi : Hein ?! Euh ...... Si si ! C'est délicieux.

Ikématsu : Tu n'y as pas touché.

Moi : Euh ..... -Et merde .....

Katsura : J'ai oublié de te le dire, Kenshin. Ikématsu est ma concubine.

Moi : Je me disais bien que vous ne pouviez pas être sa femme.

Ikématsu : Et pourquoi ?

Moi : Vous être trop jolie pour ça et vos manières sont trop rafinées.

Ikématsu : Tu vois juste !

Moi : Êtes-vous une Gei-sha ?

Ikématsu : Et oui !

Son sourire, aussi innofenssif soit-il, me transperça le coeur comme une flèche. Je n'aurais pas su décrire ce que je ressentais à ce moment. Ce n'était ni un malaise, ni du bonheur, ni de la sympathie pour cette femme. C'était inexplicable. Après le repas, elle me conduisit dans ma chambre. Je n'en avais jamais vu une si grande. J'étais un peu géné de vivre dans tant de luxe alors que ceux que j'avais cotoyé étaient encore avec M.Tagasugi. Ikématsu me montrait où se trouvaient mon lit, les armoires et tout le reste. Elle me fit ensuite visité la maison puis les jardins et enfin l'écurie. Katsura semblait avoir disparu pendant l'après-midi. Il était en fait partit voir le reste de ses troupes.

Ikématsu : Il n'est pas souvent là. Parfois, je ne le vois pas pendant plus que 3 jours !

Moi : Mais ..... Vous ....

Ikématsu : Oui ?

Moi : Si vous n'êtes pas sa femme ....

Ikématsu : Il te l'a dit, je suis sa concubine.

Moi : Pour être concubine, il faut qu'il soit marié.

Ikématsu : C'est juste.

Moi : Vous êtes sa maîtresse alors.....

Ikématsu : Mmm, on peut le voir comme ça, mais une Gei-sha n'est pas une maîtresse.

Moi : Vous êtes quoi à la fin ?

Ikématsu : Une jeune femme éperdument amoureuse d'un homme trop occupé.

Moi : Hein ?!

Ikématsu : Je dois obéhir à Katsura, car je suis sa Gei-sha. Mais notre relation va plus loin. Tu es un peu jeune pour comprendre.

Moi : Expliquez-moi !

Ikématsu : C'est un peu long ....

Moi : Je suis là pour un mois alors j'ai bien le temps !!

Ikématsu : Mmm, si tu veux.

Nous nous installâmes dans le jardin et on nous apporta du thé et quelques gâteaux.

Ikématsu : Ma mère était une Gei-sha. En temps que fille d'une Gei-sha, je devais moi-même en devenir une. J'ai rencontré Kogoro alors que j'avais à peut pret ton âge, 14 ans. Lorsqu'il m'a vu, il m'a tout de suite demandé mon nom et à qui j'appartenais. Le lendemain matin, ma mère me consuisit chez lui. J'ai entendu dire que Kogoro avait déboursé une véritable fortune pour que je sois à lui. Plus de 20 pièces d'or !

Moi : 20 pièces d'or ?! -je ne me rendais pas compte de la somme que celà représentait en fait.

Ikématsu : Oui ! Ma mère ne voulait pas au début mais il a beaucoup insisté. La première journée que je passa avec lui, je n'étais pas en confiance. Je me disais qu'il ne m'avait acheté que pour passer du bon temps avec moi.

Je fus très surprise le soir même. Me résignant, je suis allée dans sa chambre. A ma grande surprise, il m'a dit "Tu n'es pas ici pour te soumettre à moi. Je te t'oblige point à faire ça. Je veux juste que tu sois heureuse.".

Moi : Vraiment ? C'est homme est bien fou !

Ikématsu : Oui, fou d'amour pour moi. J'ai passé mon premier mois chez lui sans rien faire. Il n'était pas souvent là mais lorsqu'il rentrait, je me précipitais vers lui. Nous passions nos soirées ensemble et un soir, lorsqu'il me dit "Tu peux aller te coucher maintenant.", j'ai refusé. Je me suis approchée de lui et je l'ai embrassé.

Nous ne sommes pas allés plus loin ce soir là, mais 2 jours plus tard, nous avons passé la nuit ensemble.

Je m'en rappellerai toute ma vie. C'était ..... fantastique ! (soupir)

Moi : Je trouve ça plutôt dégoutant.

Ikématsu : Parce que tu ne connais pas encore ce que c'est ! Laisse-moi continuer mon histoire. C'est toi qui l'as voulu !

Moi : Oui oui..... -je commençais à regretter un peu de lui avoir demander.

Ikématsu : La semaine suivante, je n'ai pas eu mes périodes. Je l'ai dit à Kogoro et nous sommes allés voir un médecin. Celui-ci m'a dit que j'étais bien enceinte. J'en fus très choquée mais Kogoro a su relativiser et j'ai alors adopté sa philosofie. Il a passé beaucoup de temps avec moi, en me choyant. Je trouvais ça amusant, surtout à mon âge. Un matin, alors que je me levais, il est entré dans ma chambre et m'a dit "Tu dois te sentir bien seule ici, toute la journée. Aussi ai-je décidé que nous passerions la journée ensemble, dans les bois. Tout est pret !". Nous nous y sommes dirigés à cheval mais le mien a pris peur et je suis tombée sur le ventre. J'avais très mal. Kogoro m'a pris dans ses bras et il m'a emmené chez le médecin au triple galop. Il m'a alors annoncé que j'avais perdu mon bébé et que je ne pourrai plus jamais enfanter. J'ai cru mourir ce jour là.

Moi : Qu'a dit Katsura ?

Ikématsu : Tu sais, Kogoro n'est pas du genre à se lamenter. Il a tout fait pour que mon bonheur passe avant tout.

Même si nous ne pouvions plus avoir d'enfant, il l'a très bien pris et ne s'en aie jamais plaind. C'est un homme très gentil et sincère. Il fait toujours passer le bonheur des autres avant le sien. Oui, c'est vraiment un homme parfait.

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UN HOMME PARFAIT

Voilà, c'est fini pour l'instant !! Je vais me mettre à réfléchir pour le suivant mais j'ai aussi une fic sur Evangelion à continuer et une autre sur Sakura à mettre au propre. Que de boulot que de boulot ......

See You Space Samouraï !

Hitto-sama

Pour toutes réclamations, pleintes, dépositions, ou autre (peut-être !) :

Hitto_sama@hotmail.com






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Pour les nostalgiques de l'ancienne version, c par ici ;)

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