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CHAPITRE 4 !!! Un autre point important de l'histoire. Que va-t-il se passer ? Je l'ignore moi-même !

MAITRE SAKKU

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Kyoko et moi marchions alors que le jour commençait à se lever. Elle se taisait et je ne savais pas quoi dire pour la réconforter. Je sentais son regard se poser sur moi de temps en temps. Il me glaçait le sang. Je ne pensais pas que je devienrais aussi tôt un assassin. Je ne savais même pas si Okita, Saïtô et Kondô étaient vivant. Rien qu'en y repenssant, j'eu des remorts. Nous nous arrêtâmes finalement lorsque le soleil pointa ses premiers rayons sur nous. Un légé vent soufflait sur cette coline. Les herbes bougeaient au rythme irrégulier des bourasques. Kyoko s'assit. Moi, je restais debout, regardant la ville renaître après cette nuit rouge.

Kyoko : Que comptes-tu faire de moi, maintenant ?
Moi : Je n'en ai aucune idée. Katsura sera en colère de ne pas me voir ce matin. Et si je lui demande de te garder, je vais déguster.
Kyoko : Alors pourquoi as-tu fait ça ?!
Moi : C'était ...... un devoir moral.
Kyoko : Moral ?! Tu es donc si stupide ?! On ne fait pas ça sans prévoir les consecances !!
Moi : Je sais........
Kyoko : Sôshi voudra peut-être me garder si je lui explique ......
Moi : C'est toi qui es stupide !!
Kyoko : Comment oses-tu ?!
Moi : Si tu retournes avec lui alors qu'il a perdu face à moi, je serai concidéré comme le perdant !!
Kyoko : Et alors ? Je m'en fiche !!
Moi : Mais pas moi ! C'est une question d'honneur et de principe !
Kyoko : Vous les samouraïs et votre fichu honneur ! Tu crois que dans un monde gangréné de la sorte, l'honneur en sort encore indemne ?!
Moi : Tu ne peux pas comprendre.
Kyoko : Bien sûr ! Je ne suis qu'une fille du quartier réservé, je suis trop bête pour savoir à quel point les hommes sont audieux et stupides !
Moi : .....
Kyoko : Sache que aucunes de ces femmes ne sont mes parentes !! J'ai été élevé par Osugi mais mon vrai père était daimyô !! Mais il est mort ...... J'ai été vendue comme esclave après la fin de la guerre et c'est Osugi qui m'a acheté !! -elle avait les larmes aux yeux.
Moi : .......
Kyoko : Ne sachant pas celà, c'est toi qui ne peux pas comprendre !! - elle pleurait.
Moi : Si mon Maître ne m'avait pas sauvé, je serais moi-même esclave. Je sais ce que c'est. Mes parents sont morts du colhérat. La Voie du sabre a été mon seul espoir. Je dois beaucoup à mon sabre tout comme à mon Maître. Je sais ce que tu ressens........... Ne t'inquiète pas, ça va s'arranger.

Ses épaules étaient convulsées par ses sanglots. J'avais envie de la prendre dans mes bras pour la consoler mais je ne le pouvais pas. En temps que Samouraï, je me devais d'être implacable, même envers celle pour qui mon coeur s'emballait. Je soupira et m'assis à côté d'elle.

Moi : Allez, c'est rien. On va aller cher Maître Sakkû. Là-bas, on trouvera une solution.
Kyoko : C'est qui ?
Moi : Un Maître artisan en sabre. Katsura dit qu'il est très bon.
Kyoko : Sabre, Katsura, tu n'as donc que ces 2 noms en bouche ?!
Moi : Désolé.

Nous restâmes quelques heures sans rien dire. Vers 10 heures, nous repatîmes enfin. J'avais regardé mon sabre. L'un de mes 3 adversaires l'avait félé. Ce serait une gène si je devais combattre contre Sakkû avec ce sabre. Et avec le sabre qu'il allait me confier, je serai tout de même désaventager puisque ce sera la première fois que je l'aurai en main. Dans les 2 cas, je devrais me surpasser. Kyoko marchait un peu derrière moi. Elle avait la tête baissée et elle
se taisait. A chaque fois que j'essayais d'entamer une conversation, elle ne me répondait pas. Nous marchâmes pendant un bon bout de temps au point que nous arrivâmes chez Maître Sakkû en début de soirée.

Sakkû : Et cette fille ?
Moi : Et bien ......
Sakkû : Tu devais venir seul.
Moi : Elle était prisonnière des Shinsen Gumi !
Sakkû : Et alors ? Tu n'aurais pas dû n'en faire qu'à ta tête ! Tu vas t'attirer des problèmes avec ces histoires.
Moi : Pouvez-vous la garder ici un moment ?
Sakkû : Ce n'est pas un hôtel ici !!
Moi : Si elle retourne à Kyoto, elle risque sa vie !
Sakkû : C'est bien son problème ! Ne m'y implique pas.
Moi : Je croyais que vous étiez plus humain que ça.
Sakkû : Comment ?!
Moi : Si vous n'aviez pas d'endroit à vous, quelqu'un vous hébergerait forcément. Faites de même pour elle !!
Sakkû : Mmmm ..............
Moi : S'il-vous-plaît !!
Sakkû : Quel est ton nom, petite ?
Kyoko : Je m'appelle Kyoko.
Sakkû : Où vivais-tu ?
Kyoko : Au quartier réservé.
Sakkû : Une Gei-sha en plus ! Tu ne t'embêtes pas Himura.....
Moi : Gardez-la quelques semaines. Je trouverai un endroit pour elle, je vous le jure !!!
Sakkû : Bon, mais pas plus de 4 semaines. Allez-vous coucher maintenant. Himura, demain tu auras ton nouveau sabre.
Moi : Merci beaucoup M.Araï !

La femme de Sakkû nous avait préparé une chambre assez grande en comparaison avec la taille de cette maison. J'étais allé prendre un bain après Kyoko. Je pensais qu'elle dormirait déjà à cette heure mais quand j'ouvris le shôji, elle m'attendait.

Moi : Tu ..... tu ne dors pas ?
Kyoko : J'avais trop peur.
Moi : Hein ?
Kyoko : Je ne me sens pas bien ici.
Moi : Tu vas pourtant y rester temps que j'aurai pas trouver un autre endroit pour toi. -je m'allongeais sur mon futon.
Kyoko : Pourquoi ne puis-je pas venir avec toi ?
Moi : Je te l'ai déjà dit.
Kyoko : J'ai ...... J'ai envie de rester avec toi.
Moi : Tu dis ça parce que je suis fort au sabre et que tu te sentiras protégée temps que tu seras avec moi. Mais c'est faux. Je ne sais même pas comment j'ai fait pour les battre. J'étais comme fou.
Kyoko : Fou d'amour pour moi ?
Moi : Quoi ?! Qu'est-ce que tu t'imagines ?! -j'étais tout rouge- J'ai quitté mon Maître pour venir sauver le plus de personnes possibles. Tu en fais parti. Tu n'es rien d'autre pour moi !!
Kyoko : Je ne suis ...... rien pour toi ........ ?
Moi : Rien !!!

Kyoko commença à pleurer et elle s'effondra dans mes bras. Je ne savais pas quoi faire. Elle se redressa un peu et me prit le visage entre ses mains.

Kyoko : Rien ?
Moi : .......... Ky ........ Kyoko ....... Je ..... -je ne me sentais pas très bien.
Kyoko : Quoi ?
Moi : Non ...... Rien.

Kyoko me gifla. Je ne savais vraiment pas quoi faire. Elle me fixait avec ses yeux pleins de larmes. Et moi, comme un idiot, je rougissais de plus en plus. Sans rien dire, elle m'embrassa. Cela m'embêtait un peu rien qu'à l'idée que Sakkû pouvait venir à n'importe quel moment mais je ne fis rien pour empêcher Kyoko. Ses lèvres se séparèrent des miennes et elle me gifla à nouveau. Elle s'allongea dans son futon et de nouveaux sanglots convulsèrent ses frèles épaules.

Moi : Kyoko ......
Kyoko : Tais-toi.
Moi : Mais je ....
Kyoko : Si tu ne m'aimes pas, tu aurais dû m'en empêcher. Mais si tu m'aimes, tu n'aurais pas dû rester planter là comme un abruti !!
Moi : Je ne savais pas quoi faire ......
Kyoko : Tais-toi ....... S'il-te-plaît, tais-toi.

Sans rien dire, j'éteignis la lampe et me coucha. Quelques minutes plus trad, j'entendis des sanglots. C'était Kyoko. Je ralumais la lampe et m'approcha d'elle.

Moi : ça va ?
Kyoko : Fiche-moi la paix.
Moi : Qu'est-ce qui ne va pas ?
Kyoko : ça ne te regarde pas.
Moi : Je veux juste .... t'aimer, euh .... d'aider !!
Kyoko : Tais-toi abruti !!

J'étais un peu tendu à ce moment. J'enlevis la couverture de Kyoko et la pris dans mes bras.

Moi : Dis-moi ce qui ne va pas, s'il-te-plaît.
Kyoko : Pourquoi t'acharnes-tu ? J'ai beau être méchante avec toi, tu es toujours aussi gentil ..... Pourquoi ?
Moi : Parce que .... je crois être ..... amoureux de toi ....
Kyoko : Ne mens pas ...
Moi : Non, c'est vrai.
Kyoko : Tu crois ! C'est tout !! Tu n'en es même pas sûr.
Moi : ........ Je crois ...
Kyoko : Arrête !
Moi : Kyoko ..... Je t'aime ... vraiment.

Sans attendre sa réaction, je l'embrassais. Le reste de la nuit ne fut que baisers et mots doux. A plusieurs reprises, je crus que Sakkû allait venir dans cette chambre. ça me faisait un peu peur mais, au contraire, cela plaisait énormément à Kyoko.
Au matin, je laissais Kyoko dormir et je me levais plus tôt que d'habitude. La femme de Sakkû préparait le petit déjeuner. [NDA : Je lui donne un nom mais ce n'est certainement pas celui-ci]

Sumiré : Tiens, tu es levé Himura ?
Moi : Euh .. oui. Puis-je vous aider ?
Sumiré : Merci, mais ce n'est pas la peine.
Moi : Votre fils n'est pas là ?
Sumiré : Il est partit pour quelques jours. Je crois que tu ne le verras pas. Mais comment sais-tu que nous avons un fils ?
Moi : C'est M.Katsura qui me l'a dit.
Sumiré : Je vois ... As-tu bien dormi ?
Moi : Euh ... Oui !
Sumiré : Mais peu à ce que j'ai cru entendre.
Moi : ....... Excusez-moi ...
Sumiré : Mon mari n'en sait rien. Heureusement pour toi et la petite. Au moins, si elle reste là, ton esprit sera libre.
Moi : Comment ça ?
Sumiré : Lorsqu'un homme trouve enfin le repos dans les traits d'une femme, il n'arrive plus à rien faire. Regarde mon mari. Il défit tous les jeunes que Katsura envoit, mais il n'en bat jamais aucun.
Moi : Vraiment ?
Sumiré : Il se fait vieux ... J'ai de plus en plus peur pour lui. Certes, ses sabres sont fait pour tuer mais plus lui. Himura, fais attention avec cette fille. Elle te trompera, un jour ou l'autre.
Moi : J'en ai conscience. Je sais que son coeur ne m'appartient que pour un bref instant.
Sumiré : Elle aime un autre homme, n'est-ce pas ?
Moi : Oui, et c'est par la même occasion mon plus grand rival.
Sumira : Pauvre enfant .... Voilà ce que c'est que de se prendre au séieux trop jeune. Tiens, prends du riz et déjeune. Sakkû ne va pas tarder à se lever. Et après avoir manger, vous vous batterez.
Moi : Oui.

Environ 15 minutes plus tard, Sakkû arriva et déjeuna comme prévu. Kyoko se leva aussi. Elle gardait le silence, même avec moi. Peu après, Sakkû m'emmena dans son atelier et me préseta plusieurs sabres.

Sakkû : Alors, la question du jour !! A ton avis, quel est le sabre qui t'est destiné ?
Moi : Euh ....

A vrai dire, les 5 sabres devant moi me semblaient identique. Cependant, l'un d'entre eux, celui du milieu, m'attira un peu plus mon oeil. Je le pointa de doigt.

Moi : Celui-ci.
Sakkû : Prends-le en main. (je m'exécutais) Comment le sens-tu ?
Moi : Il a l'air très stable ... Et il est assez légé.
Sakkû : Comment est son tranchant ?
Moi : Je ne m'y connais pas beaucoup, mais je crois qu'il est très bon.

Sakkû semblait penssif au moment où je disais cela. Il me regardait avec un petit sourire en coin. Très franchement, je ne savais pas pourquoi.

Sakkû : C'est bon ! Il est à toi.
Moi : Hein ?!
Sakkû : J'ai perdu d'avance avec toi en fait. Je ne tiens pas à perdre ma vie inutilement.
Moi : Mais ....
Sakkû : Je sais, un sabre coûte cher. Katsura n'en saura rien. Je te donne ce sabre.
Moi : ... Merci, Maître Sakkû. (je m'inclinais)
Sakkû : Maître ?! Et bien .... T'es un drôle de petit bonhomme toi ! Vas donc t'entrainer un peu, pour t'habituer à cette
lame.
Moi : Bien.

Je sortis et vis Kyoko en train de couper des herbes.

Moi : Que fais-tu ?
Kyoko : ça ne se voit pas ?!
Moi : Pardon ... Je ne voulais pas t'embêter ...
Kyoko : Idiot ... Tu l'as eu ?
Moi : De quoi ?
Kyoko : Le sabre !
Moi : Euh oui ... Maître Sakkû me l'a donné.
Kyoko : Je croyais que tu devais te battre avec lui pour l'avoir.
Moi : Il n'a pas voulu.
Kyoko : De toute façon tu n'aurais rien pu faire, avec ton épaule.
Moi : J'ai quand même battu Okita, Saïtô et Kondô avec !!
Kyoko : Un coup de chance, oui !
Moi : ......
Kyoko : J'ai bien vu cette nuit qu'elle te fait toujours mal. Tu devrais aller voir un médecin.
Moi : ça ne te regarde pas.
Kyoko : C'est vrai ... Remarque, que ferait Katsura avec un assassin mancho !
Moi : ça suffit. Arrête !
Kyoko : Vois la vérité en face, Kenshin. Tu es bien trop gentil pour te diriger vers la voie que Katsura et les autres te réservent ! Tu ne seras jamais capable de tuer. Tu es trop tendre pour ça !
Moi : Et alors ?!
Kyoko : Je ne t'aime pas. C'est à cause de cette faiblesse. Tu n'es pas comme les autres !
Moi : Mais ....
Kyoko : Tu ne m'as pas laissé le choix cette nuit. J'étais forcée de te laisser faire ! Tu étais différent à ce moment ! Ce n'était pas le gentil petit Kenshin ! Non, c'était le redoutable Battôsaï ! Celui qui m'a pris aux mains des Shinsen-Gumi l'autre soir !
Moi : Je ne .....
Kyoko : Laisse cet assassin se libérer. Pour ce qui t'attend, c'est le mieux.
Moi : Kyoko .... Si j'étais comme ça ... Tu m'aimerais ?
Kyoko : Non. Je te l'ai déjà dit, mon coeur n'appartient qu'à un seul homme !!

Tout ça, je le savais depuis que je l'avais vus pour la première fois. Mais je ne pouvais pas le supporter. Je la voulais, plus que tout au monde. J'aurai tout abandonner pour elle. Mais elle dressait autour d'elle un mur que seul Okita pouvait détruire. Je mis quelques heures à l'accepter. Pendant tout ce temps, je regardais la lame de mon sabre. Je me disais que tôt ou tard, le sang d'Okita coulerait dessus et qu'à ce moment là, Kyoko m'appartiendrait. Quand
cela allait-il se produire ? Je ne le savais pas mais je voulais que ce moment arrive très vite, le plus vite possible. Mon coeur était pour elle et pour aucune autre femme. Il était prèt de midi lorsque Katsura arriva. Il alla en premier saluer Sakkû puis, il vint vers moi et s'assit à mes côtés.

Katsura : Himura ? ça n'a pas l'air d'aller.
Moi : Si ... ça va ....
Katsura : Qui est cette fille, chez Sakkû ? Sumiré m'a dit que c'était toi qui l'avais ammené.
Moi : C'est .... Une fille des quartiers réservés.
Katsura : Quoi ? Tu es allé là-bas ?!
Moi : C'est Okita qui m'y a emmené. J'y ai rencontré cette fille et j'ai appris qu'elle allait être la concubine de Kondô. J'ai préféré mettre ma vie en danger pour la sauver mais j'ai eu tord.
Katsura : Il arrive souvent que ce genre de femmes aiment déjà un homme ... Ce n'est rien, Himura.
Moi : Ce n'est pas ça le problème ! C'est Oktia qu'elle aime !!!
Katsura : Okita ?
Moi : Oui !! Je ne sais pas s'il est vivant ou non !! Peut-être ai-je oté la vie à l'homme qu'elle aime !!! Et j'ai profité de ses faiblesse par la suite !!! Monsieur Katsura, pardonnez-moi !!! (je pleurais à chaudes larmes)
Katsura : Allons, calme-toi. Je peux t'assurer qu'Okita est encore en vie. Mes espions m'ont rapporté que tu avais gravement blessé Saïtô, Okita et Kondô. C'est un exploit digne des meilleurs, Himura. Tu ne dois pas pleurer.
Moi : Mais je ne voulais pas ! Ce n'était pas moi !!! Ce n'était pas moi qui les ai blessé !!! Je ne voulais pas leur faire ça !
Je voulais juste que Kyoko soit heureuse !!!
Katsura : Il y a des moments dans la vie d'un homme qui sont difficiles, Himura. C'est un de ces moments que tu traverses. Si tu sais t'en sortir sans remorts, alors tu seras prêt.
Moi : Prêt pour quoi ?
Katsura : Tuer.

2 jours plus tard, Katsura et moi sommes rentrés chez lui. Ikématsu m'a sauté au cou en me grondant en même temps parce que je ne les avais pas prvenu que je partais. Elle semblait très inquiète. Mais je n'ai rien pu dire, rien pu faire. Je me tus jusqu'à ce qu'elle me lache et me regarda. Mais je ne la regardais pas non plus. Elle me giffla et je partis alors dans ma chambre, sans rien dire. Le soir venu, je ne descendis pas pour manger. Ni le lendemain matin et encore moins à midi. Ikématsu vint plusieurs fois dans ma chambre m'apporter à manger, mais à chaque fois je lui demandais de repartir avec. Je voulais rester seul, et affronter cette épreuve, comme Katsura m'avait dit. Il vint lui aussi le soir avec un plateau.

Katsura : Himura, il faut que tu manges.
Moi : Je n'ai pas faim.
Katsura : ça fait depuis hier midi que tu n'as rien avalé. Pas même un verre d'eau ! Tu vas devenir malade !
Moi : ça vous gènerait un assassin incapable de se battre parce qu'il est trop faible, n'est-ce pas ?
Katsura : Biens sûr !
Moi : C'est pour ça que vous m'avez pris ici. Vous savez que je suis encore trop jeune pour faire ça et vous avez peur que je ne sois pas bien traité chez Monsieur Tagasugi.
Katsura : ......
Moi : J'ai raison, n'est-ce pas ?
Katsura : Oui.
Moi : J'aurais très bien pu rester là-bas !! Je me sentais mieux avec Monsieur Tagasugi qu'avec vous et Ikématsu !!! Non, j'étais encore bien mieux avec mon maître dans les montagnes !!! Je n'aurais jamais du en partir !!!!
Katsura : Il est trop tard pour reculer maintenant. Mange. Demain, je t'emmenerai donc dans ta faction si tu en as assez de vivre avec nous. Mais tu es quand même trop jeune pour tuer. J'en ai parlé avec Ikématsu. Tu ne débuteras en tant qu'assassin qu'à partir de tes 15 ans, et pas avant.
Moi : J'ai donc une année de répis.
Katsura : Non, tu t'entraineras et tu apprendras tout des autres assassins.
Moi : JE NE VEUX PAS FAIRE CA !!! JE REFUSE !!! TUER N'A JAMAIS ARRANGER LES CHOSES !!!!
Katsura : Dis-toi bien que si tu ne voulais pas le faire tôt ou tard, tu ne serais pas venu de ton plein gré chez Tagasugi !

Katsura sortit en laissant le plateau non loin de mon futon. Je recommançais à pleurer.

Moi : Je ne voulais pas tuer .... Je ne le veux toujours pas .... Maître ..... Que dois-je faire ?

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MAITRE SAKKU

lol, le titre n'a plus vraiment de lien avec la fin de ce chapitre ! Bah tant pis ! Y'a même pas eu de combat !!!
ça, c'est pas très sympa de ma part, vous avez du vous emmerdez à lire ça .... Il se passe rien ... Et si vous croyez que Kenshin a fait des trucs pas clairs avec Kyoko, vous vous trompez !! J'ai bien dit qu'ils ne faisaient RIEN mis à part quelques baisers et des mots tendres !!! N'allez pas croire que je vais mettre "ça" dans mes fics !!! Peut-être plus tard, on verra .....

Pour me dire que je dois donner de meilleures explications :
Hitto_sama@hotmail.com






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